Coup de projo sur les étranges portraits du sud-coréen Seung-Hwan Oh.
Pour sa série « Impermanence », l’artiste immerge un film qu’il a développé dans de l’eau à laquelle il a ajouté quelques microbes.
Il laisse ensuite faire le temps pendant quelques jours, quelques semaines, quelques mois voir quelques années.
Le résultat final est tantôt psychédélique, tantôt poétique, mais illustre parfaitement l’idée de caractère éphémère des choses et des moments.      Â